J?’ai tenté dernièrement de brosser un tableau des façons que nous avons actuellement à notre disposition pour lier informatique et recherche littéraire. Plus spécifiquement (et c’était mon point de chute) : quelles avenues s’offrent à nous chercheurs littéraires dans la virtualisation du discours critique sur la littérature ? Deux postures me sont apparues répondre plus efficacement à ce défi :
– délaisser l’expérimentation pure des possibilités offertes par les TIC au profit de solutions inventives directement liées à des besoins criants de sous-communautés de chercheurs;
– utiliser l’outil virtuel comme un filtre ? entendre ici : trouver des moyens de rétablir la validation de l’information disponible (en constante croissance) par le rétablissement de réseaux de contact, de réseaux de confiance, ce que permettent assez nettement les cybercarnets.
J’essaie de reconstituer ici l’enchaînement argumentatif de mon exposé (en mettant rapidement sous forme de phrases ce qui était une liste d’idées jetées sur un papier) pour montrer comment ces avenues semblent aujourd’hui s’imposer.