Envie de diversifier les interlocuteurs académiques, envie de discuter d’autres problématiques, envie de voir les enjeux sous un autre angle, envie de changer de langue (aïe)…
[période de réflexion]
Jeudi, je vais voir ailleurs. C’est le jour des Digital Humanities, lancé l’an dernier par Geoffrey Rockwell.
Une famille existe là, les liens sont d’un autre ordre, les connivences sont codées. Reste à voir si les cousins sont réellement sympathiques…
t’as le droit de partir si auparavant tu nous trouves une traducdigition pour « Digital Humanities » !
Ouf, gros contrat… Et qu’est-ce qu’un nom? Il faudrait déjà s’entendre sur le concept…
http://tapor.ualberta.ca/taporwiki/index.php/How_do_you_define_Humanities_Computing_/_Digital_Humanities%3F
Ça va de choses assez précises à des définitions comme: « Humanism and its universe, digitally -Guyda Armstrong, University of Manchester, UK », et couvre un champ qui se rend jusqu’au « domaines théoriques et ésotériques de la critique de jeux vidéos » (les jeux vidéos sont-ils de la littérature? il y a une histoire et souvent bien du texte…)
Je suppose que la méthode empirique de regarder ce ces adeptes des « humanités » au mode numérique peuvent bien faire de leur journée peut aider à renseigner les néophytes 😉 et à faire converger vers une définition… ou diverger, tout dépendant!