Carnet de recherche Charles-Antoine 15 août 2017

Nous en sommes déjà à la deuxième moitié du mois d’août, entamant ainsi le dernier droit avant le début de la session d’automne. Depuis le début du mois, mon temps de travail fut divisé entre deux gros projets à avancer : la revue de critiques et la base de données.

Pour ce qui est de la revue de critiques, j’ai modifié le document de cadrage original, en tâchant de mettre de l’avant de manière plus prononcée le design dans les objectifs et objets d’étude de la revue. J’ai aussi rédigé un petit paragraphe, vulgarisé pour le grand public, pour définir brièvement ce qu’est la revue et à qui elle s’adresse. Le but étant d’interpeller les contributeurs potentiels. Suivant la proposition de René et Renée lors de la dernière réunion, j’ai aussi rédigé une banque de cinq questions pour guider les personnes intéressées dans la rédaction de leur critique. La nouvelle version du document a par la suite été lue et approuvée par Élodie.

Peu de temps après, j’ai planifié avec Michaël une rencontre pour discuter de l’aspect du site de la revue et pour qu’il me présente ses wireframes. Ce fut l’occasion de clarifier certains aspects du projet pour mon collègue afin qu’il puisse créer l’interface correspondant le mieux à nos besoins. Les wireframes qu’il m’a présentés étaient déjà très bien construits, mais quelques points restaient tout de même à revoir, nous en avons donc discuté pour en arriver à un accord mutuel. Suite à cette rencontre, Michaël devrait produire une deuxième version de wireframes sous peu.

Quant à l’avancement de mes textes critiques, j’ai finalisé ma quatrième critique, cette dernière portant sur l’œuvre numérique L’Élue. Je compte terminer ma cinquième et dernière critique prévue pour l’été d’ici la fin du mois d’août. Par conséquent, cela nous fera une base d’au moins 5 textes pour le lancement du site.  Celui-ci serait d’ailleurs, dans le meilleur des cas, mis en ligne pour la session d’hiver 2018.

En ce qui a trait à la base de données, j’avance quotidiennement la migration de mes fiches sur la nouvelle plateforme. Malgré quelques bogues et problèmes d’affichage liés notamment au format du texte pouvant être saisi dans le champ « créateurs », la base de données fonctionne très bien. Avec Tom qui a commencé à entrer ses fiches théoriques, nous sommes rendus à 202 fiches de créées et avons répertorié 475 créateurs (auteurs, illustrateurs, développeurs, etc.). Ainsi, il me reste de moins en moins de fiches à intégrer au site. Dans le meilleur des cas, je les aurai toutes transposées d’ici la fin du mois d’août. Prêt pour le sprint final avant la rentrée!

Carnet de recherche Tom 1er août 2017

La base de données a été enfin montrée lors de la réunion d’hier (31 juillet). C’était l’occasion de collecter les retours sur un grand nombre d’éléments et de discuter des avis en envies de chacun des membres de l’équipe. J’ai pu voir se concrétiser les remarques et le travail accompli avec Dave au cours des précédentes semaines. J’ai été content de pouvoir communiquer avec lui de manière régulière au travers de ma présence sur le lieu de travail, et ainsi de tester ses idées, obtenir et fournir des conseils quant à la meilleure mise en place possible de la plateforme. Ce travail va continuer grandement dans les jours à venir, puisque le processus se veut bien sûr itératif.

The John Hopkins Guide to Digital Media

Je continue également de travailler sur la recherche du projet, en me penchant particulièrement sur l’ouvrage collectif The John Hopkins Guide to Digital Media. La source, pointée par René Audet au tout début de mon arrivée sur le projet, est extrêmement pertinente pour découvrir les « médias digitaux » dans leur ensemble, ainsi que la pluralité de notions parfois conflictuelles qui les composent. Le travail est assez plaisant dans sa dimension intellectuelle, puisqu’il permet de circonscrire chaque jour de mieux en mieux la recherche sur le projet. Il s’agit pour moi de décortiquer le raisonnement produit et d’en faire à chaque fois un compte rendu synthétique et pertinent pour le projet. Ce travail de recherche est certainement le plus chronophage de tous, mais il est encore une fois extrêmement agréable et varié. Il en va de même pour les autres ouvrages et articles que j’ai pu trouver jusqu’ici, et pour lesquels j’ai essayé de fournir le meilleur aperçu possible pour René Audet et Renée Bourassa, afin de les aider dans leur recherche.

Je compte à ce sujet m’intéresser de plus en plus à la question de l’expérientialité. Après un tour de presque huit mois sur les différents aspects du projet, je m’aperçois en effet combien cette notion est fondamentale pour arrimer les composantes de littérature et de design en contexte numérique. C’est également la notion qui bénéficie du moins de recherche actuelle, ce qui rend le projet de René Audet et Renée Bourassa d’autant plus pertinent. Comme me l’avait mentionné René Audet, la question de l’expérientialité n’est pas tant axée sur l’aspect cognitif de la lecture (aspect souvent déjà traité par la recherche, par exemple en matière de sciences cognitives), mais plus sur l’objet textuel en tant que tel. Au grès de mes lectures, j’ai pu me former une idée sur la distinction entre l’approche ontologique et l’approche cognitive. Cette citation tirée d’un ouvrage d’Umberto Eco en fait un très bon résumé :

« La théorie de l’objet ne s’occupe pas de savoir comment nous saisissons cognitivement les objets qui n’existent pas. À vrai dire, elle se concentre sur les objets dans leur absolue généralité et indépendamment de la façon possible dont ils sont des données. »

Voir BARBERO, Carola, Madame Bovary : Something Like a Melody, Milan, Albo Versorio, p. 65, cité par ECO, Umberto, Confessions d’un jeune romancier, Paris, Grasset, p. 90.

J’ai également bien entamé mon travail d’entrées de fiches sur la base de données. Ce travail est l’occasion d’un premier retour auprès de Dave concernant les fonctionnalités et les besoins que l’on pourrait avoir. Quelques bogues minimes ont vite été réglés ou le seront très prochainement. Rentrer les fiches est l’occasion de voir se concrétiser tout le travail accompli depuis les dernières semaines, ce qui a été un vrai travail de fond de la part de Dave et auquel j’ai été très heureux de pouvoir contribuer. L’été a réellement été mis à profit et la réunion du 31 a permis d’en prendre la pleine mesure. Je m’occupe donc d’améliorer au mieux le canevas nécessaire aux fiches d’ouvrages et d’articles théoriques. Le travail avance bien, et les prochaines semaines seront surtout consacrés à la mise en place du carnet, ainsi qu’à la compilation des fiches sur la base de données.


BARBERO, Carola, Madame Bovary : Something Like a Melody, Milan, Albo Versorio, p. 65, cité par ECO, Umberto, Confessions d’un jeune romancier, Paris, Grasset, p. 90.

Compte rendu réunion 31 juillet 2017

Cette réunion avec l’équipe au complet visait à faire le point sur trois éléments ; la revue critique de Fictions Narratives Numériques (FNN), le « wireframe » (la « maquette fonctionnelle », ndle), et enfin la base de données elle-même et son utilisation. La base de données a été examinée en premier. Grâce au travail de tous, celle-ci a pu être mise en ligne efficacement et les premières entrées ont pu être transférées. Dans l’ensemble, l’équipe est très enthousiaste, notamment en raison de son caractère pratique. Peu de remarques ont été effectuées sur le coup, car l’essentiel des retours se fait directement auprès de Dave au quotidien. J’ai ainsi beaucoup communiqué avec lui ces dernières semaines afin de répondre au mieux à ses interrogations concernant la praticité de la base de données. Les jours à venir vont nous permettre de raffiner la composition de la base ainsi que celles des fiches qui la nourrissent, étant donné que le transfert va maintenant pouvoir s’accélérer. L’intérêt d’un tel processus itératif est de répondre le mieux aux usages, et le contact entre les membres de l’équipe est un gage de succès de cette entreprise.

Nous avons ensuite effectué un retour sur la revue critique de FNN. Renée, Michaël et Clara estiment qu’il faudrait faire un effort d’intégration de la dimension de design. Renée et René en ont parlé en amont et un certain nombre de solutions ont été proposées. Le problème éprouvé est celui d’un manque au niveau théorique en design; sur ce point, Renée a demandé à Charles de reprendre le texte de la demande de subvention afin que la revue soit véritablement intégrée aux ambitions du projet. De son côté, René reconnaît l’importance d’une parenté graphique entre la base de données (et de manière générale, du site relatif au projet) et la revue. Comme il l’a pointé, il s’agit surtout de penser la revue en terme de vulgarisation, car celle-ci s’adresse au grand public. Il est donc peu probable que les lecteurs (et les éventuels contributeurs) soient à la fois spécialistes du design et de la littérature. L’axe choisi est celui des Fictions Narratives Numériques, il s’agira donc de voir de quelle manière il est possible d’arrimer la question du design à un tel type de plateforme. Sur ce point, la question d’un encadré spécifique a été discutée (mais risque d’effrayer ou de désintéresser le public contributeur). Il sera donc préférable d’envisager simplement une ouverture plus large des textes d’appel aux contributions.

D’autres questions ont été abordées, comme celle de la limitation de la revue FNN. Les termes de Fictions Narratives Numériques étant extrêmement larges, il est possible que les jeux vidéos prennent rapidement une place trop grande. Un rôle de sélection et d’édition sera alors à privilégier, afin de ne pas noyer la revue dans un seul médium. Il a également été pointé qu’il serait intéressant d’augmenter la longueur des textes demandés. En effet, si une bonne critique dépassant le nombre de mots requis venait à être proposée, il serait dommage de la refuser sous un prétexte aussi formel. De plus, la revue devant être ouverte aux universitaires, il s’agira de permettre également des points de vue plus spécialistes sur les œuvres traitées. La multiplicité des avis sur chaque œuvre sera ainsi permise, comme le font notamment certains sites (SensCritique.com par exemple). De façon plus large, il a été pointé qu’il serait intéressant à partir de l’automne de se focaliser sur des dossiers spécialisés (notamment sur le droit d’auteur, les agrégateurs de contenu, etc.) afin de commencer à produire des contenus plus spécialisés.

Nous avons ensuite étudié les propositions de « wireframe » du futur site du projet. René a particulièrement pointé la nécessité de dynamiser la page d’accueil afin de mettre l’accent notamment sur les publications. Plusieurs types de cadres permettront de dynamiser la plateforme; nous en avons ainsi déterminé quelques-uns : sur les évènements en cours ou à venir, sur les nouvelles fiches de lecture, sur les contenus produits par la communauté de chercheurs (au travers de citations issues de la base de données), sur les contenus Facebook également… Bref, un grand nombre d’idées ont été rapportées et pourront toutes permettre de mettre en valeur les recherches effectuées.

Enfin, nous avons pu discuter du prochain séjour de Renée à Valenciennes, en octobre 2017 prochain. Ce sera l’occasion d’un travail approfondi avec la professeure Clarisse Bardiot, laquelle oeuvre également sur des questions telles que l’hybridité du livre et le livre augmenté. Ce sera également l’occasion de faire un état des lieux au sujet des agrégateurs de contenu. Enfin, en septembre, Renée compte stimuler des étudiants de design afin qu’ils produisent différents prototypes dotés de présentations visuelles.

Tom Lebrun

Carnet de recherche Michaël 17 juillet 2017

Dans les deux dernières semaines, j’ai consacré la majeure partie de mon travail à organiser le contenu et la structure de la plateforme Web du projet. Cette partie du travail s’est faite en collaboration avec Clara. Nous avons également esquissé les premiers jets des maquettes fonctionnelles (« wireframes »). Nous avons commencé de façon individuelle, puis en mettant en commun nos idées, nous avons été en mesure de produire une seconde itération des maquettes filaires de différentes pages du site (pages Accueil, Projet, Événements, Publications, Article). Suite à cela, nous avons recherché des ambiances visuelles qui pourraient être intéressantes pour le design de la plateforme et l’identité visuelle du projet.

Pendant l’idéation des maquettes, j’ai élaboré une liste de plusieurs types de menus/barres de navigation en analysant différents exemples de sites Web sur le site Awwwards. Ce site recueille des propositions de design Web intéressantes et, à l’aide d’un jury, décerne des prix aux meilleures réalisations. Il s’agit donc d’une source intéressante pour amorcer une recherche de contenu original et de qualité. La liste élaborée à l’aide d’Awwwards a permis de mieux cerner les possibilités de design quant à la navigation et de ne conserver que les meilleures options pour le contexte actuel.

Une autre partie du travail a été de continuer la réflexion à propos des prototypes de livres numériques sur lesquels se portera mon attention dans les semaines à venir. En ciblant certains contenus intéressants à travailler et des extraits de livres, plusieurs idées de design se sont manifestées. Il ne reste plus qu’à en discuter avec Renée pour savoir quelles idées devront être sélectionnées pour la création.

Pour le reste, j’ai fait quelques lectures. D’abord, j’ai lu l’article de Renée Bourassa pour le CRIHN, «Le livre en tant qu’artéfact cognitif : Matérialités et hybridités en contexte numérique». Une partie de son article faisait référence à un texte de Frédéric Kaplan « How books will become machines », qui a piqué ma curiosité. Cet article m’a fait beaucoup réfléchir sur l’avenir du livre et sur l’importance du design dans l’élaboration de ses nouvelles formes. Le parallèle entre le livre et l’encyclopédie, bien que contestable, m’a aidé à comprendre certaines subtilités de l’enjeu du livre numérique.

Enfin, j’ai regardé l’ensemble des propositions d’intervention pour le colloque du printemps 2018. À la demande de Renée, j’ai sélectionné celles qui m’intéressaient davantage, probablement dans l’optique de voir quelles propositions pourront être retenues au final.


AWWWARDS, Website Awards, https://www.awwwards.com/ [Consulté le 14 juillet 2017]

BOURASSA, Renée, « Le livre en tant qu’artéfact cognitif : Matérialités et hybridités en contexte numérique », 2017 (à paraitre)

KAPLAN, Frédéric, How books will become machines, https://fkaplan.files.wordpress.com/2011/08/kaplan-colloquelitteracies.pdf [Consulté le 14 juillet 2017]

Compte rendu réunion 4 juillet 2017

Cette troisième grande réunion a été l’occasion pour l’équipe de découvrir le prototype de base de données développée par Dave Létourneau. Après avoir décidé de délaisser Bootstrap 3 (dont les fonctionnalités étaient trop limitantes pour les nécessités de notre projet), Dave a développé la base en Bulma (lien : http://bulma.io/), un cadre CSS basé sur du Flexbox, logiciel libre particulièrement puissant et disponible sur GitHub. Dave a donc pu nous présenter la première ébauche du travail accompli, travail particulièrement impressionnant et adapté à nos besoins. Même si la plupart des champs n’étaient pas encore présentés de manière définitive – ce qui est tout à fait normal à ce stade du projet – nous avons pu voir le prototype et tester certaines de ses fonctionnalités. Le design, qui correspond déjà grandement aux modèles proposés par Clara et Michaël, sera donc peu à peu mis au diapason dans les semaines qui viennent.

Cette réunion devait donc permettre, en sus de cette présentation, de tester de concert les fonctionnalités et ainsi récupérer les remarques de l’équipe quant à l’établissement des champs. Dans cet objectif, un certain nombre de modifications ont été proposées. Il est important de noter que la plupart de ces modifications potentielles ne sont pas définitives; la plupart pourront être modifiées suite à la mise en production en raison du processus essentiellement itératif de la constitution non seulement de la base de données, mais également du projet « Expérientialité et Design du Livre en Contexte Numérique ». Les remarques sont les suivantes :

– Concernant le champ éditorial, les réalités complexes des productions dans le domaine numérique impliquent la nécessité d’ouvrir un champ « notes éditoriales » pour pallier les remarques d’éventuelles rééditions d’ouvrages, ou les notes pertinentes concernant les spécificités hybrides qui pourraient être découvertes.
– La réflexion sur les conditions de mise à disposition des champs a également été poursuivie. Un certain nombre d’entrées n’auront ainsi de sens qu’en interne – certaines œuvres ou certains ouvrages seront ainsi pointés en raison de leur pertinence pour le projet Expérientialité et Design –, mais n’auront pas d’intérêt pour le public de cette base de données. Ces dernières entrées seront donc réservées au seul usage du groupe de recherche afin de ne pas alourdir l’utilisation de la base de données pour le public, et demeurer ainsi le plus pertinent possible.
– La question de la distinction entre « plateforme » et « support » a également longuement été abordée : la confusion de fait parfois inévitable entre les deux rend difficile sa mise en place. Il est probable que les deux champs soient fusionnés, quitte à proposer dans une liste les différentes options (de « Prezi » à « Flash », en passant par « PS4 », « Epub », « Papier », etc.)
– La question de la distinction entre « Synthèse » et « Commentaire » a pu être réglée. Logiquement, les différences entre le domaine de recherche sur les ouvrages théoriques et celui sur les œuvres n’appellent pas les mêmes entrées. Pour cette raison, le travail effectué par Charles et moi-même utilisait bien souvent des intitulés qui ne s’avèrent pas totalement correspondants. Pour clarifier la future base de données, nous avons donc décidé de garder trois champs principaux : « Description » (qui correspond à la description généralement proposée par les éditeurs ou les créateurs du contenu, soit l’équivalent du quatrième de couverture) ; « Commentaire » (qui correspond à notre commentaire subjectif sur l’oeuvre ou l’ouvrage donné, et sera donc conservé à l’interne) ; « Discours critique existant » (qui correspond aux notes, remarques, commentaires ou critiques de l’oeuvre ou de l’ouvrage proposées par d’autres chercheurs ou par le public, et qui permettent de multiplier les points de vue sur l’oeuvre ou l’ouvrage en question).
– Renée Bourassa a également proposé une réflexion sur les citations récoltées au cours du travail de recherche. L’idée serait de permettre un moissonnage des dites citations par l’usage de mots-clés et ainsi accéder à toutes les citations concernant, par exemple, « l’imaginaire du livre » ou « les fictions transmédiatiques ». Cela permettrait notamment de démultiplier l’impact de notre travail de recherche. La proposition devra cependant être réalisable sans trop ajouter à la charge de travail ni dévier les objectifs annoncés vu que cela supposerait, entre autres, une table séparée dans les entrées.
– Il a également été décidé de conserver les deux champs « caractéristiques médiatiques » et « types d’interaction » car la distinction (« types d’interaction ») demeure très pertinente pour la recherche en Design.
– Nous avons cependant décidé de supprimer deux catégories inutiles au vu de nos objectifs : la catégorie « public cible » et celle « caractéristiques du livre numérique » (cette dernière étant notamment trop vague).
– Enfin, la notation par étoiles sera conservée pour le projet puisque celle-ci permet facilement d’indiquer la pertinence des objets.

Le travail étant bien amorcé, la prochaine réunion se tiendra dans quelques semaines, sans date précise au vu des vacances prévues pour de nombreux membres de l’équipe.