Idées fortes, anthologie

Publié le 26 février 2010

Livre numérique cherche ses créateurs

Livre numérique cherche son identité.

Livre numérique a trouvé son acheteur.

Vivement les cours d’éthique du numérique

Réseaux/sociabilité à construire dans le monde numérique à l’image de notre identité citoyenne.

Décloisonner pour décloisonner la littérature ?

Quelles sont les limites de ce milieu qui gobe tout ?

Réseaux et plateformes : les deux espaces-clé de la création et de la diffusion numérique

Équilibre entre sociabilité et sélectivité : garant d’une identité numérique efficace et crédible.

Repenser les questions de légitimité pour les adapter à la dynamique singulière de la littérature numérique.

Défaire les silos.

Repenser l’oeuvre en tant qu’oeuvre et non en tant que livre.

Regarder avec une perspective d’oeuvre et avec une perspective de livre.

Être éthique sur tout ce qu’on écrit sur la toile.

L’espace numérique comme enrichissement du papier, pour enrichir l’identité.

L’écrit numérique par lui-même comme mode de création ou mode nouveau de diffusino avec l’obligation d’innover.

Deux façons d’aborder le numérique qui finiront bien par se rejoindre régulées par le modèle.

Le numérique peut servir à assurer la promotion du papier.

L’identité numérique se définit au milieu des autres (le réseau) ; les autres définissent notre image.

Immigrants du numérique vs natifs.

Complexité des enjeux (définitions des termes).

Normes qui gèrent le livre (droits d’auteur, cadre juridique, financement, structures).

L’offre éditoriale doit précéder la demande ; anticiper les besoins.

La lecture au sens de plaisir du texte est indépendante du support.

L’hybridité se conjugue mal aux critères des organismes subventionnaires.

« Passage DOS à Mac » : le livre numérique a besoin d’une telle révolution.

Considérer le texte, le livre tiré hors de la logique économique.

Continuer à créer en ligne, raffiner la littérarité numérique.

Urgence ! Construire une plateforme québécoise.

Les droits territoriaux impossibles à garantir à long terme.

50% d’analphabètes fonctionnels au Québec : y a-t-il des lecteurs ?

Les absents sont-ils ceux qui se préparent en silence ?

Mon fétichisme du livre m’empêche de penser le numérique de façon sensée.

Il s’agit avant tout de différencier l’affect de la pensée théorique pour penser le livre numérique.

Lien auteur-éditeur va perdurer peu importe le format produit.

Comment vont migrer les fonctions ou  métiers du livre dans l’univers numérique ? (auteurs, éditeurs, imprimeurs, graphistes, réviseurs, traducteurs)


Un commentaire (RSS)

  1. […] pluralisme littéraire ». Ce sera celui-ci pour le moment. De mon point de vue, une des thèses les plus fortes de cette journée à La fabrique du numérique a été énoncée par Mario Dumais sous la forme […]